ensemble des mécanismes physiques et chimiques modifiant la matière rocheuse.

L’eau est le principal facteur de leur altération (modification physique et chimique des roches) et de leur érosion (ablation et transport des produits de l’altération).

L’altération des roches dépend de différents facteurs dont la nature des roches (cohérence, composition), le climat et la présence de végétation.

modification d’une activité humaine dans le but de prévenir un risque.

Des mesures d’aménagement spécifiques peuvent limiter les risques encourus par les populations humaines.

ensemble des mécanismes (altération de la roche et transport des produits de cette altération) à l’origine d’une modification des paysages.

L’érosion affecte la totalité des reliefs terrestres.

matière réalisée à partir de ressources ayant une utilité pour les activités humaines.

L’être humain utilise de nombreux produits de l’érosion/sédimentation (matériaux) pour ses besoins. Par ailleurs, l’activité humaine peut limiter ou favoriser l’érosion, entraînant des risques importants dans certaines zones du globe.

zone de dépôt des sédiments, nommée également bassin sédimentaire.

Les roches formées dépendent des apports et du milieu de sédimentation.

rencontre entre un aléa et un enjeu.

Des mesures d’aménagement spécifiques peuvent limiter les risques encourus par les populations humaines.

roche sédimentaire composée en grande part de débris (issus de l’érosion ou de squelettes d’organismes).

Il existe une diversité de roches sédimentaires détritiques (conglomérats, grès, pélites) en fonction de la nature des dépôts.

particules issues de l’érosion des roches, ou d’une activité organique (ex. coquilles) déposées dans un bassin.

Ces roches sont formées par compaction et cimentation des dépôts sédimentaires (= sédiments) suite à l’enfouissement en profondeur.

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 pratique agricole consistant à bannir l’utilisation de produits phytosanitaires issus de la synthèse chimique, et à les remplacer si cela est possible soit par des produits naturels, soit par d’autres moyens de lutte.

écosystème agricole artificiel modifié ou créé et géré par l’Homme afin de satisfaire des besoins alimentaires, industriels ou énergétiques. On parle d’élevage dans le cadre d’une production animale, de culture pour une production végétale.

Les agrosystèmes terrestres ou aquatiques sont gérés afin de produire la biomasse nécessaire à l’humanité pour ses différents besoins (alimentaires, textiles, agrocarburants, pharmaceutiques, etc.).

masse totale des êtres vivants présents sur une surface donnée.

La biosphère prélève dans les sols des éléments minéraux participant à la production de biomasse.

En consommant localement la biomasse morte, les êtres vivants du sol recyclent cette biomasse en éléments minéraux, assurant la fertilité des sols.

configuration d’une activité de la société humaine qui lui permet d’assurer sa pérennité.

La recherche agronomique actuelle, qui s’appuie sur l’étude des processus biologiques et écologiques, apporte connaissances, technologies et pratiques pour le développement d'une agriculture durable permettant tout à la fois de couvrir les besoins de l’humanité et de limiter ou de compenser les impacts environnementaux.

entraînement des particules du sol par les eaux de pluie, ce qui diminue le volume de sol cultivable.

En dehors des agents érosifs, la nature et la composition des sols résultent aussi de l’interaction entre les roches et la biosphère, par le biais de plantes, d’animaux et de microbes.

produits apportés à l’agrosystème afin d’améliorer le rendement (ex. engrais, produits phytosanitaires). Les intrants peuvent aussi inclure, de manière plus large, tous les produits nécessaires au fonctionnement de l’agrosystème (ex. outillage, machinerie).

Dans plusieurs modèles agricoles, l’exportation d’une grande partie de la biomasse produite réclame l’apport d’intrants pour fertiliser les sols.