1° thème : Corps humain et santé

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En rouge, vous trouverez la notion du programme dans laquelle on trouve ce terme.

Chapitre 1 : Procréation et sexualité humaine

Cellule de Leydig

cellule sécrétrice de testostérone (aussi nommée cellule interstitielle car située entre les tubes séminifères).

Complexe hypothalamo-hypophysaire

ensemble formé par l’hypothalamus (une structure nerveuse) et l’hypophyse (une glande endocrine) et contrôlant, entre autres, l’appareil reproducteur.

Le fonctionnement de l’appareil reproducteur repose sur un dispositif neuroendocrinien faisant intervenir l’hypothalamus, l’hypophyse et les organes sexuels.

Contraception

ensemble des moyens évitant la fécondation.

Chez la femme et chez l’homme, ces molécules de synthèse sont utilisées dans la contraception régulière (« la pilule »), la contraception d'urgence féminine, les hormones contragestives dans le cadre de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) médicamenteuse, ainsi que la contraception hormonale masculine.

Contragestion ensemble des moyens de contrôle des naissances utilisés après la fécondation.
Corps jaune résultat de la transformation du follicule ayant libéré l’ovule. Il produit la progestérone et des oestrogènes.
Follicule ensemble sphérique de cellules contenant l’ovocyte, présent dans l’ovaire et qui se développe durant le cycle ovarien
FSH hormone produite par l’hypophyse, elle agit sur l’appareil reproducteur (hormone folliculostimulante).
GnRH neurohormone produite par l’hypothalamus, et agissant sur l’hypophyse.
Gonades organes pairs produisant les gamètes. Indifférenciées au départ, elles se différencient en ovaires ou testicules.
Hormone molécule sécrétée par une cellule dite endocrine, circulant dans le sang et agissant à distance sur un organe cible.
Identité sexuelle sentiment d’être un homme, une femme ou autre.
IST

maladie se transmettant lors de rapports sexuels non protégés (infection sexuellement transmissible).

D’autres modes de contraception existent chez l’homme et la femme ; certains permettent de se protéger des infections sexuellement transmissibles (IST) et d’éviter leur propagation.

LH produite par l’hypophyse, elle agit sur l’appareil reproducteur (hormone lutéinisante).
Neurohormone hormone produite par un neurone.
Orientation sexuelle désir affectif et sexuel pour les personnes de même sexe, de sexe opposé ou des deux sexes.
Puberté  étape de la vie où les appareils sexuels commencent à produire des gamètes et où les caractères sexuels secondaires se développent.
SRY  gène situé sur le chromosome Y et déterminant le sexe masculin.
Stéréotype opinion erronée sur un groupe de personnes en fonction de leur origine, de leur sexe ou autre caractéristique.
Tubes séminifères  structures tubulaires présentes dans le testicule (environ 400), qui sont le lieu de formation des spermatozoïdes.
Système de récompense

ensemble des zones du cerveau activées lors d’une expérience procurant du plaisir.

Le plaisir repose notamment sur des mécanismes biologiques, en particulier l’activation dans le cerveau du système de récompense.

 

 

 

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Chapitre 2 : Microorganismes et santé

Agent pathogène

facteur responsable d’une maladie.

Certaines maladies causées par des agents pathogènes sont transmises directement entre êtres humains ou par le biais d’animaux tels que les insectes (maladies vectorielles).

Les agents pathogènes (virus, certaines bactéries ou certains eucaryotes) vivent aux dépens d’un autre organisme, appelé hôte (devenu leur milieu biologique), tout en lui portant préjudice (les symptômes).

La connaissance de la propagation du pathogène (voire, s’il y en a un, du vecteur) permet d’envisager les luttes individuelles et collectives.

Le changement climatique peut étendre la transmission de certains pathogènes en dehors de leurs zones historiques.

Cycle de vie  succession d’étapes composant la vie complète d’un organisme.
Épidémie

propagation rapide d’une maladie dans une région donnée.

Le réservoir de pathogènes peut être humain ou animal (malade ou non). La propagation peut être plus ou moins rapide et provoquer une épidémie (principalement avec des virus).

Espèce réservoir  espèce infectée par un agent pathogène et participant à sa diffusion.
Hôte

organisme au sein duquel vit un autre organisme.

Les agents pathogènes (virus, certaines bactéries ou certains eucaryotes) vivent aux dépens d’un autre organisme, appelé hôte (devenu leur milieu biologique), tout en lui portant préjudice (les symptômes).

Microbiote

ensemble des microorganismes qui vivent dans et sur un être vivant.

Le microbiote humain représente l’ensemble des microorganismes qui vit sur et dans le corps humain.

Les interactions entre hôte et microbiote jouent un rôle essentiel pour le maintien de la santé et du bien-être de l’hôte. La composition en microorganismes et la diversité du microbiote sont des indicateurs de santé.

Le microbiote se met en place dès la naissance et évolue en fonction de différents facteurs comme l’alimentation (présence de fibres) ou les traitements antibiotiques.

Le microbiote intestinal a un rôle indispensable dans l’immunité et dans la digestion. Certaines bactéries ont des propriétés anti-inflammatoires. Les travaux sur le microbiote établissent des corrélations entre des compositions du microbiote et des pathologies. La modulation du microbiote ouvre des pistes de traitement dans certains cas de maladies.

Certains microorganismes normalement bénins du microbiote peuvent devenir pathogènes pour l’organisme notamment en cas d’affaiblissement du système immunitaire.

Porteur sain  individu porteur d’un pathogène, mais qui ne présente aucun symptôme de maladie.
Prophylaxie

ensemble de mesures destinées à prévenir l’apparition d’une maladie.

Les comportements individuels et collectifs (= prophylaxie) permettent de limiter la propagation (gestes de protection, mesures d’hygiène, vaccination, etc.).

Symbiose  association durable à bénéfices mutuels entre deux organismes.
Vaccination

injection d’un pathogène inactivé ou vivant attenué afin de stimuler le système immunitaire.

Les comportements individuels et collectifs permettent de limiter la propagation (gestes de protection, mesures d’hygiène, vaccination, etc.).

Vecteur

organisme susceptible de transmettre un pathogène d’un hôte à un autre.

La propagation du pathogène se fait par changement d’hôte. Il exige soit un contact entre hôtes, soit par le milieu ambiant (air, eau), soit un vecteur biologique qui est alors l’agent transmetteur indispensable du pathogène (il assure la maturation et/ou la multiplication du pathogène).

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